mercredi 2 janvier 2008

Votre visage intéresse le FBI

Sécurité - L'agence fédérale américaine projette de développer une vaste base de données biométriques. Empreintes, iris, ADN, cicatrice, rien ne serait exclu. Au nom de la sécurité !

C'est le Washington Post qui a révélé l'information, reprise depuis par de nombreux sites sur le Net, y compris en France. Le projet, baptisé NGI, pour Next Generation Identification, est pharaonique. 1 milliard de dollars serait débloqué pour constituer en 10 ans ce qui sera le plus grand catalogue du monde de données biométriques. Le chantier commence dès janvier 2008.
Le Grand Frère se porte de mieux en mieux...

Cfr. "News.fr - L'actualité du changement"

dimanche 16 décembre 2007

L'étude de l'intelligence en psychomorphologie

Beaucoup de jeunes étudiants en psychomorphologie se laissent tenter par l'interprétation de l'intelligence et cela en observant et en déduisant des aspects psychologiques reposant sur l'étude seule de l'étage cérébral.
Cela n'est pas une bonne chose et risque d'apporter son lot de déconvenues, aussi bien au pratiquant qu'au patient.
En effet l'étude unique de l'étage cérébral ne peut à elle seule rendre compte de notre potentiel intellectuel; les étages naso-malaire et bucco-mandibulaire contiennent des énergies capables d'enrichir ou d'appauvrir la vie de notre pensée, car notre intelligence reçoit une bonne partie de ses matériaux de travail en provenance de notre vie corporelle.
Outre notre potentiel cérébral inné, notre intelligence se développe grâce à l'accumulation d'expériences sensitives (informations provenant de l'extérieure et perçues par la peau, les yeux, le nez, la bouche, les oreilles) et cela depuis notre enfance.
Si ces premiers contacts concrets avec le monde extérieur sont insuffisants, l'intelligence de l'enfant perdra de son efficience.
De plus, l'alimentation joue un rôle très important dans l'élaboration de l'intelligence.
En effet, la pensée ne peut être optimum s'il lui manque des nutriments biologiques indispensable (phosphore, calcium, magnésium); tout comme on ne peut faire abstraction du rôle de la respiration qui par son bon fonctionnement apporte en grande quantité de l'oxygène essentiel à la multiplication et la communication de nos cellules nerveuses cérébrales.
L'étudiant ne peut donc négliger ces divers aspects si celui-ci ne tient pas à faire de la psychomorphologie bas de gamme.

vendredi 14 décembre 2007

La psychomorphologie un outil objectif.

Malgré ce que l'on peut penser dans certains milieux, la psychomorphologie peut être considérée comme une science à part entière.
Car elle est au carrefour des sciences exactes, des sciences humaines et des recherches alternatives.
Il ne faut donc pas être doté d'un pouvoir paranormal pour s'en servir car elle est une technique à part entière.
De plus, elle est un formidable outil de communication.
En effet, la plupart du temps, nous sommes guidés par nos sentiments, nos sympathies et nos antipathies.
Dès lors, nous restons totalement subjectifs dans notre approche de l'autre; cela nous expose à de graves déceptions, et nous amène à porter un regard complètement faux sur l'autre.
Cette approche est souvent le résultat d'un manque de connaissance que nous avons de nous même et qui fait que inconsciemment, nous ne pouvons supporter, chez les autres, nos propres défauts que leur image nous renvoie: c'est le mécanisme de projection.
Ou bien, toujours inconsciemment nous ne supportons pas des qualités que nous n'avons pas.
Ou enfin, certaines personnes nous semblent tellement différentes de nous que nous finissons par les rejeter, tant elles paraissent difficiles à comprendre.
En essayant de prendre conscience du pourquoi de ces réactions épidermiques, nous avons plus de chance d'en atténuer les manifestations.
Et c'est ainsi que la psychomorphologie se révèle être un outil de choix afin d'améliorer notre communication interpersonnelle.

jeudi 13 décembre 2007

Du protoplasme a l'homo sapiens

La forme du visage, comme toute forme vivante, est malléable.
Si nous remontons dans le temps, nous nous apercevons qu'à l'origine, il y a une masse gélatineuse (protoplasme) flottant à la surface des eaux chaudes des mers. Il fallait à cette matière des propriétés plastiques et de déformation pour s'adapter aux pressions, variations et influences de toutes sortes qui modifiaient son milieu de vie.
A condition que les excitations reçues fussent supportables, cette gélatine répondait aux perturbations qui la déséquilibraient par des réactions qui mettaient en jeu des énergies chimiques provenant des molécules qui la composaient. Plus la cellule réagissait avec force et efficacité contre le milieu ambiant perturbateur, plus elle faisait preuve de vitalité.
Et de protoplasme, elle est devenue unicellulaire, puis pluricellulaire.
C'est ainsi que les énergies en lutte contre les phénomènes perturbateurs du milieu ont, à la longue, provoqué des processus de transformation. Et cela à l'image d'une goutte d'eau qui transperce une pierre en tombant des millions de fois à la même place, ou d'un galet devenu rond parce que mille et mille fois roulé par les vagues.
Cette masse spongieuse et vivante, a besoin de se nourrir, soit manger et respirer.
La nourriture est essentielle à la conservation et à l'expansion des cellules. Pour ce faire, cette masse gélatineuse a créé des portes de communication entre l'extérieur et l'intérieur.
La tête, qui contient le cerveau et les organes des sens, avait des couloirs qui communiquent avec l'extérieur. La bouche est le vestibule de l'appareil abdominal, et le nez celui de l'appareil respiratoire et thoracique.
Puis sont apparues les sensations, nées d'excitations visuelles et auditives. Elles informent les cellules de la nature de l'environnement. Les yeux et les oreilles sont devenus les couloirs de communication avec l'appareil cérébral.
Le premier visage humain résulte d'un combat entre l'individu et le milieu. La victoire, c'est l'adaptation de l'individu au milieu . Certes, l'individu a peut-être perdu quelque originalité en abdiquant devant les forces de la nature, mais au sortir des luttes des oppositions et des difficultés de toutes sortes, c'est lui qui est vainqueur.
N'oublions jamais qu'entre la masse gélatineuse et le visage de l'homo sapiens, il n'y a pas de différence de nature mais seulement des complexités, des spécialisations et des complications en plus.