Beaucoup de jeunes étudiants en psychomorphologie se laissent tenter par l'interprétation de l'intelligence et cela en observant et en déduisant des aspects psychologiques reposant sur l'étude seule de l'étage cérébral.
Cela n'est pas une bonne chose et risque d'apporter son lot de déconvenues, aussi bien au pratiquant qu'au patient.
En effet l'étude unique de l'étage cérébral ne peut à elle seule rendre compte de notre potentiel intellectuel; les étages naso-malaire et bucco-mandibulaire contiennent des énergies capables d'enrichir ou d'appauvrir la vie de notre pensée, car notre intelligence reçoit une bonne partie de ses matériaux de travail en provenance de notre vie corporelle.
Outre notre potentiel cérébral inné, notre intelligence se développe grâce à l'accumulation d'expériences sensitives (informations provenant de l'extérieure et perçues par la peau, les yeux, le nez, la bouche, les oreilles) et cela depuis notre enfance.
Si ces premiers contacts concrets avec le monde extérieur sont insuffisants, l'intelligence de l'enfant perdra de son efficience.
De plus, l'alimentation joue un rôle très important dans l'élaboration de l'intelligence.
En effet, la pensée ne peut être optimum s'il lui manque des nutriments biologiques indispensable (phosphore, calcium, magnésium); tout comme on ne peut faire abstraction du rôle de la respiration qui par son bon fonctionnement apporte en grande quantité de l'oxygène essentiel à la multiplication et la communication de nos cellules nerveuses cérébrales.
L'étudiant ne peut donc négliger ces divers aspects si celui-ci ne tient pas à faire de la psychomorphologie bas de gamme.
dimanche 16 décembre 2007
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